dimanche 11 janvier 2009

Mon ami, c 'est a' toi que s 'adresse cette mienne lettre. Merci d' avoir écrit ta verité ,non pas tes 4 verités . Si j 'ai bien cmpris ton message tu voudrais,toi le seul lecteur de ma pauvre prose oui tu m ' as exprime l'envie de m'entendre te parler du bog , blog "COIFFAIR" .Tu signes tout simplement :JORDAN .
La belle affaire, que faire, comment faire sans decevoir?
L'idée m'en est venue a' l'esprit un après-midi,il faisait un tantinet frais dans ma chambrette, et la chaleur tiède du thermos ( cadeau de mon frère)m 'aidait a' deviner le doux trépidementde l'eau..... Et puis mon inénarrable cousin d 'Amérique me convoque sur un portable que je n' use autrement que pour répondre.Je fais sonner il va surement arréter..;

Et puis,d'un air excédé,je lis, je vais dire:j 'interprete....Il écrit: T'attends aux Meresdemai .Aucune signature, pas un mot de plus....Tu sais, cher ami,mon cousin de Chicago est bègue, et il lit les auteurs du siècle dernier dans leur idiome .Et pour lui le seul langage qui vaille est celui qui est etendu et parlé entre le Danube et la Tisza . Son parler a' lui est on pourrait dire l'a nglais qu 'il a appris a' six_sept ans. Tu veux un exemple de ses lectures de chevet ,et je t'en donnerai un et un seul: Rien que des l , rien que des a , rien que des i, rien que des o, rien que du lait, rien que du plasir.... A la fin le mot Ilona ....

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